Quelques pistes pour faire bouger les lignes.
En 10 ans, le niveau de stress est passé de 42% à 61% et le taux de motivation de 42% à 28%. Pour 62% des français, le travail représente une source de stress. Les élèves français sont ceux dans le monde qui ont le moins confiance en leurs capacités :
L’optimisme serait-il culturel ?
Le taux d’ocytocine (hormone de l’empathie) s’effondre quand le stress augmente : les personnes d’humeur joyeuse prennent leur décisions avec plus de facilité, de rapidité et de créativité. Pour compenser une émotion négative, il faut entre 3 et 13 émotions positives !
Force de ce constat, la prescription de Philippe Rodet – Médecin urgentiste auteur de la Bienveillance au travail :
Plus d’endorphine pour moins d’adrénaline !
Être attentif aux petites attentions : attendre la réponse quand on demande comment ça va ?
Dire ce qui va bien : la réussite n’est pas que le fruit du hasard
Bannir le mépris : comme ne pas répondre à un mail
Le droit à l’erreur : « Je ne perds jamais. Soit je gagne soit j’apprends » (Mandela)
Un devoir d’audace : Oser !
Les managers qui apprennent à s’écouter et à prendre soin d’eux sont porteurs d’émotions positives. Bien sûr avec le niveau d’exigence attendue pour un management qui se voudra Responsable et Bienveillant. Et vous, quel remède appliquerez-vous dès demain ?